Un ordre du jour chargé lors de la réunion du Conseil Départemental où il fût tout d’abord question de 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐛𝐮𝐝𝐠𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟓 𝐚̀ 𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐞𝐫𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞́𝐠𝐫𝐚𝐝𝐞́𝐞.
Cette situation n’est pas le fait d’une mauvaise gestion de notre part mais est bien la résultante d’un contexte national subit par l’ensemble des Départements. Les dépenses de solidarité augmentent (particulièrement l’APA pour les personnes âgées, la PCH pour celles en situation de handicap et les besoins liés à l’enfance) alors que l’Etat baisse ses participations. Parallèlement, l’Etat décide des dépenses nouvelles qu’il nous revient de payer sans avoir les contreparties financières pour le faire.
Il a également été fait le point 𝐥’𝐚𝐜𝐪𝐮𝐢𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐲𝐞𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐨𝐧𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐏𝐚𝐬-𝐝𝐞-𝐂𝐚𝐥𝐚𝐢𝐬 avant de voir le Plan de transition pour la décarbonation 2024-2028.
Enfin, une large part de la séance a été consacrée aux rapports d’activité des services du Département et celui de nos partenaires des Etablissements Publics et Organismes Associés.
Ce fût notamment l’occasion d’évoquer le travail si important de la Maison Départementale des Personnes Handicapées. 150 222 habitants du Pas-de-Calais bénéficient d’un droit actif ouvert par la MDPH, soit plus de 10% de la population départementale.
S’il fallait faire la démonstration du caractère indispensable de l’action du Département, nous ne pourrions pas mieux faire qu’avec ces deux Rapports d’activité ! 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐯𝐨𝐲𝐨𝐧𝐬 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐧’𝐲 𝐚 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐬𝐮𝐩𝐞𝐫𝐟𝐥𝐮𝐬, 𝐢𝐥 𝐧’𝐲 𝐚 𝐫𝐢𝐞𝐧 𝐝’𝐢𝐧𝐮𝐭𝐢𝐥𝐞 𝐨𝐮 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐦𝐚𝐢𝐬, 𝐚𝐮 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐫𝐞, 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞.
Le citoyen du Pas-de-Calais n’est pas un allocataire, un bénéficiaire ou un critère dans une case ; Il est un individu confronté à de multiples situations. Alors il faut souvent apporter des réponses de mobilité ou de santé pour accéder à l’emploi. Il faut agir sur le logement quand vient la dépendance. Il faut pouvoir faire du sport ou aller au spectacle quand on est en situation de handicap. Il faut penser au pouvoir d’achat des familles quand on aborde le volet routier, la vie au collège ou l’accès aux loisirs…
𝐀𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞𝐫 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞 𝐛𝐮𝐝𝐠𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐧’𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐠𝐮𝐢𝐜𝐡𝐞𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐢𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐱𝐚𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥’𝐢𝐧𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐞́𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐨𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 !