Le projet en deux mots :
Éléments de langage possibles
* Jean-Luc TILLARD et le Département c’est une longue histoire d’amitié !
Durant de longues années, Jean-Luc a joué un rôle moteur au service des habitants du Pas-de-Calais, au sein des services du Département :
Plus de 19 années de service notamment comme Directeur Général des Services, sous la présidence de Roland HUGUET ! de 1986 à 2005
À nos côtés, dans ce qui était à l’époque le Conseil Général, il a été un véritable « artisan de la décentralisation » !
Arrivé à la retraite, ce virus de l’action publique, cette envie de se placer au service des autres et de la collectivité s’est poursuivie.
Avec une prise de responsabilité au service de sa commune, au travers des fonctions de Maire puis également V-Pdt de la Communauté Urbaine
* La présence des services publics dans les bourgs et villages, c’est la présence de la République auprès de la population et c’est de l’égalité entre les citoyens.
Cette action publique de proximité c’est le ciment de la République !
* Requalifier les espaces et les équipements, c’est une solution pour allier économie de foncier et garder un tissu urbain dynamique
– Le Département a été au cœur de ce projet de création de centre communal à vocation culturelle, associative et familiale.
Le Département est présent à chaque étape, depuis l’aide en ingénierie jusque à la mise en œuvre !
* Un chantier porté par une collectivité c’est de l’activité et de l’emploi local !
– Au travers du FARDA, mais plus globalement nos programmes d’aides aux communes, le Département accompagne les équipements portés par les collectivités
– Au-delà du fait d’agir pour une amélioration du service public, sur le plan économique également cela a un rôle moteur pour nos artisans et nos PME locales : c’est du « carnet de commandes » !
– Les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, mettre en péril l’investissement public y compris sur les petits chantiers, c’est faire peser des menaces à moyen terme sur notre tissu économique qui participent à la vitalité de nos territoires ruraux !
Le sport, un enjeu social et sociétal
Le sport, c’est un formidable vecteur d’animation, de lien social et de solidarité qui fait rayonner nos territoires, grâce à de nombreuses associations et un tissu de bénévoles que nous devons préserver. C’est pour eux aussi que nous agissons lorsque nous mettons en place des structures de qualité qu’ils pourront utiliser. Faire vivre le sport, c’est faire vivre nos territoires
Promouvoir le sport, c’est aussi agir en faveur d’une pratique de bien-être et en faveur d’une bonne santé. En cela, le sport, même s’il s’agit d’une politique volontariste pour le Département, s’inscrit pleinement dans les priorités de notre action politique.
Que seraient nos territoires sans les acteurs du mouvement associatif ?
La nécessité de mailler les territoires en équipements sportifs
Permettre aux acteurs du monde sportif de pratiquer dans de bonnes conditions, c’est notamment leur offrir des bâtiments adéquats, pour des raisons de confort et de sécurité d’abord. Et parce que nous sommes la collectivité en charge des collèges, nous mettons un point d’honneur à accompagner financièrement la construction ou la rénovation des salles de sports qui serviront à nos collégiens. Cette pratique sportive dans le cadre du cursus « collège » est souvent le premier pas pour faire découvrir le sport à nos enfants, et pour les inciter à poursuivre le sport à l’avenir. C’est comme cela que naissent les vocations et que commencent les parcours des champions et des championnes de demain.
Pour cela, il est nécessaire que les jeunes puissent s’épanouir dans un environnement sain et adapté.
Une action départementale efficace en faveur du sport dans le Pas-de-Calais
Bien que ce ne soit pas une politique obligatoire mais purement volontariste, le Pas-de-Calais est un des départements de France les plus actifs en matière sportive, en aidant les comités départementaux, les clubs, les sections sportives rectorales ou encore les organisateurs de manifestations sportives.
Notre action collective, en lien avec les acteurs de proximité dont les comités départementaux, a permis de contribuer à développer et entretenir le tissu associatif et nous pouvons nous réjouir aujourd’hui que le territoire départemental compte plus de 3 200 associations sportives dans notre département pour plus de 300 000 pratiquants licenciés, sans compter donc les pratiquants non-licenciés qui sont aujourd’hui de plus en plus nombreux en raison des évolutions sociétales et à l’adaptation des modes de vie que nous constatons.
Pour toutes ces raisons, malgré le contexte budgétaire complexe que l’Etat impose aux collectivités, la majorité départementale a souhaité préserver au maximum la dynamique sportive et le monde sportif.
Le Département, un acteur du sport majeur à Arras et dans l’Arrageois
Notre action en faveur est particulièrement visible sur l’Arrageois. On peut citer l’exemple de la dynamique Paris 2024 qui l’an dernier a permis à Arras, grâce au Département du Pas-de-Calais, d’accueillir la flamme olympique puis la flamme paralympique. Des moments qui resteront gravés dans les mémoires de tous ceux qui ont pu participer à cette belle fête populaire.
Et comment ne pas évoquer l’ASL Canoë-Kayak Grand Arras, qui est un des clubs les plus structurants dans notre département, reconnu à l’échelle nationale et qui est un des principaux viviers de notre équipe olympique et paralympique Pas-de-Calais, avec notamment l’exemple d’Adrien Bart qui a terminé au pied du podium aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2021 (4ème dans la catégorie C1 1000 mètres).
* Un Festival qui retient forcément l’attention du Département
– La définition de l’inouï c’est « ce qui surprenant », « ce qui n’a jamais été entendu ». C’est finalement une des fonctions de la culture… surprendre, amener l’individu à accepter ce qu’il ne connait pas. Pour le Département cette fonction de la culture a du sens, surtout dans une période dominée par les algorithmes où, finalement, on finit par ne parler qu’à ce qui nous ressemble.
– La Musique en Roue Libre est également un nom qui nous intéresse, surtout quand cette Roue Libre décide de ne négliger aucun lieu, l’Hôtel de Guînes ou le théâtre mais aussi la rue et un établissement spécialisé comme l’EPSM de Saint-Venant. C’est le meilleur moyen d’offrir la culture au plus grand nombre et en particulier aux publics qui en sont le plus éloignés.
Votre Festival à aussi décidé d’aller sur plusieurs territoires du Pas-de-Calais, jusqu’à La Bulle des Champs, ce lieu atypique que nous avons accompagné dans le cadre du Budget Citoyen et de l’Economie Sociale et Solidaire.
Peut-être un jour, votre Festival roulera-t-il jusque dans le Boulonnais et notre Théâtre Elisabéthain du Château d’Hardelot, à l’acoustique parfaite. Vous y serez en tout cas les bienvenus.
La volonté de la majorité départementale, et de son Président Jean-Claude LEROY c’est de ne négliger aucun territoire, au nom de l’égalité. Nous sommes donc partenaire du Festival Les Inouïes dans l’Arrageois mais aussi Les Rencontres Musicales en Artois, les Orgues en Béthunois, les Estivales Lyriques de Wissant, Les Pianos Folies au Touquet, le Rock in Bourlon ou le Poulpaphone de Boulogne. Nous accueillons aussi sur nos sites départementaux le Green Way aux tours du Mont-Saint-Eloi, Rock en stock au Port départemental d’Etaples et le Festival Bivouac au Parc départemental d’Olhain.
Evidemment tous ces festivals sont différents mais ils ont pour point commun d’être organisés par des associations et largement portés par des bénévoles motivés, au rôle si essentiel dans notre société.
* Ce que nous voulons soutenir c’est aussi la création et le spectacle vivant
Il y aura toujours des défenseurs du Patrimoine, ce que nous sommes d’ailleurs nous-même en consacrant chaque année au moins 10 fois plus que le Loto du patrimoine à ce qui fait l’histoire et la culture du Pas-de-Calais. Mais cela ne suffit pas à faire une politique culturelle.
Il y a malheureusement beaucoup moins de monde pour soutenir le spectacle vivant et la création. Pour certains cela ne fait même jamais partie de leur programme électoral.
Ce n’est évidemment pas le cas du Département qui soutient les résidences d’artistes, notamment au collège, les classes orchestres et a des conventions de partenariats avec l’ensemble des structures culturelles du Pas-de-Calais.
* Mais, dans une période des restrictions budgétaires, ce soutien reste fragile.
Ces dernières années sont marquées par les restrictions budgétaires et la culture en est assurement la principale victime.
Les Départements n’échappent pas à cette asphyxie budgétaire et tout est fait pour que nous nous recentrions sur nos politiques obligatoires. Nous refusons d’abandonner nos politiques volontaires, le sport, l’accompagnement de la jeunesse, l’éducation populaire et la culture. Et si nous sommes contraints de réduire un peu la voilure nous n’abandonnerons rien ni personne !
La culture, la danse, la musique sont bien trop précieux pour garantir le lien social, le plaisir et la joie d’être ensemble. Alors, longue vie au Festival des Inouïes et bon moment de concorde et de musique à tous !
– Il faut dire que le territoire de la commune accueille de nombreux et très importants services et bâtiments départementaux ; un centre de la petite enfance, un collège, notre Maison de l’Archéologie, au rayonnement national, et un incroyable Centre des Archives départementales que vous pourrez découvrir dans quelques mois. Les travaux viennent de s’achever ; commence désormais le transfert de centaines de kilomètres de documents venus du bâtiment de la Place de Préfecture à Arras et du Centre Mahaut-d’Artois et sa célèbre tour. En fait, c’est toute la mémoire du Pas-de-Calais qui sera concentrée à Dainville ; C’est une grande fierté et vraie responsabilité !
– Mais le Département est aussi un partenaire historique des projets développés par la commune, l’équipe municipale et sa maire, Françoise ROSSIGNOL. Des projets accompagnés parce qu’ils s’inscrivent pleinement dans les priorités et l’ambition de la majorité départementale, Présidée par Jean-Claude LEROY. Et ce projet de Pôle sportif développe plusieurs de ces priorités.
– La seule compétence obligatoires des Départements en matière de sport concerne les schémas de randonnée et des sports de pleine nature ainsi que le sport au collège. Mais nous avons fait de choix d’aller bien au-delà en favorisant l’émergence de salles de sport, d’équipements sportifs de proximité, comme les terrains synthétiques et les skatepark, en permettant aux clubs de s’ouvrir à d’autres publics, en finançant les comités départementaux, les clubs de haut niveau et les manifestations sportives.
– Si nous tenons à cette politique sportive c’est parce que derrière tout cela il y a du lien social, un encadrement éducatif pour les jeunes, une possibilité pour les jeunes de s’exercer aux responsabilité et un travail préventif de fond pour une meilleure santé.
– Alors, au moment où les collectivités locales connaissent des difficultés budgétaires du fait de dotations insuffisantes de l’Etat, certains voudraient que nous abandonnions nos politiques volontaristes, comme le sport, la culture, l’éducation populaire, l’Economie Sociale et Solidaire, pour se concentrer sur nos politiques sociales. Ce serait une erreur fondamentale ! Ce que nous finançons ici pour le sport c’est ce que la Sécurité Sociale n’aura pas à payer demain !
– Lorsqu’on décide de créer un Pôle sportif spécifique pour accompagner le foot féminin on renforce la notion d’égalité dans notre République.
– Il n’est pas si loin le temps des railleries quand on parlait de sport féminin ; Pas si loin le temps des difficultés pour que le talent de Marinette PICHON puisse être reconnu. Mais heureusement les temps changent et ce soir le RC LENS de Sarah M’BAREK défiera le grand PARIS SG devant plus de 10 000 personnes à Bollaert. Comme quoi, il faut avoir confiance en l’avenir dans une société qui peut tout à fait être meilleure.
– Un club de foot ce n’est pas que des activités pour occuper les enfants les mercredis et le week-end ; Un club c’est avant tout une association sportive où on apprend des règles de vie, C’est un espace de démocratie et de lien social parfaitement complémentaire avec la famille et l’école.
– C’est l’occasion pour moi, au nom du Département, de remercier chaleureusement les éducateurs, les dirigeants, les bénévoles qui assurent une mission qui n’a pas de prix. Donner son temps pour les autres, et surtout pour la jeunesse, est en tout point remarquable, nous ne le dirons jamais assez.
– C’est d’ailleurs à ces bénévoles que j’ai pensé en premier quand le 1er ministre a annoncé cet été l’idée de supprimer deux jours fériés… Le week-end de Pâques, comme celui de la Pentecôte et le 8 mai, est traditionnellement celui des tournois sportifs et des grandes manifestions. Nous serions donc bien inspirés de faire attention à tout cela.
– En revanche, lorsqu’on construit et entretient des équipements comme ce Pôle sportif on fait un acte profondément respectueux de l’engagement des dirigeants, des éducateurs, des bénévoles associatifs et vous aurez toujours le Département à vos côtés pour vous aider à cela.
Vendredi 27 juin 2025 – 14h30 – Sainte-Catherine
ELEMENTS DE CONTEXTE
Seront présents : le maire de la commune, Alain Van Ghelder,
le président de l’association, Denis Delerue,
les membres du conseil d’administration,
le directeur de l’association, monsieur Faddoul
le directeur de la Charmille, monsieur Rogner
L’association : Depuis sa naissance en décembre 94, sur l’Arrageois, l’association a très vite géré 3 maisons d’enfants (la Charmille à Sainte Catherine, la MECS de Bapaume et le centre maternel la Marelle à Achicourt).
L’association s’est diversifié, fin des années 90 – début 2000, dans l’autonomie avec les maisons de retraite « Saint Nicolas » à Saint-Nicolas-lez-Arras puis « Saint Landelin » à Vaux-Vraucourt et aussi un EHPAD et un SSIAD dans le Val de Marne.
Accueil et Relais a ensuite poursuivi sa croissance dans le domaine de l’enfance avec la fusion absorption de l’association « Asermines », gestionnaire de la MECS de Oignies.
ELEMENTS DE LANGAGE
Sur l’association :
Association dynamique, avec laquelle le département travaille bien, notamment dans le processus d’accompagnement des enfants et qui est plutôt « entraînante » dans le secteur de la protection de l’enfance, à l’initiative notamment d’une plateforme interassociative qui gère les fonctions de plusieurs asso du domaine, dans l’Arrageois.
Elle a répondu à la sollicitation du département d’ouverture de places dans le cadre des 300 places d’ici la fin du mandat.
Inscrite dans une dynamique constante d’amélioration des conditions d’accueil des agents qu’il s’agisse de la rénovation (ex : MECS de Bapaume) ou de l’accompagnement des jeunes au quotidien.
Elle a fêté ses 30ans mardi dernier (Evelyne y était – Evelyne absente ce jour (obsèques de Jacques Larivière))
La diversité de l’offre qu’elle propose est à l’image de ce que la collectivité promeut en termes de diversifications des lieux et des types d’accueil. Ainsi, la MECS « La charmille » accueille en mixité, des jeunes âgés de 3 à 18 ans. Elle dispose de 74 places d’accueil classique, réparties sur les sites de Sainte-Catherine et de Bully-les-Mines (10 places au 63 rue Roger Salengro récemment inaugurées), 2 places d’accueil d’urgence et 6 places d’appartements en diffus depuis septembre 2024 (« Tremplin autonomie »).
Sur la protection de l’enfance en général :
Des situations difficiles que nous rencontrons qui ne sont donc que rarement en lien avec l’action du Département, mais pour lesquelles le Département sont souvent condamnés à faire « l’impossible ».
Samedi 21 juin 2025 – 11h
Le projet en deux mots :
City stade de 12 x 22 m en gazon synthétique sablé pour répondre aux besoins du RPI, de la population et du club de football.
Coût du projet : 99 000 € / Département : près de 30 000 €
Eléments de langage possible (intégrants les éléments clés des divers notes) :
Un city-stade à proximité des écoles (RPI)
C’est une des raisons majeures de l’engagement du Département pour ces équipements de proximité, en dehors de nos compétences.
Le sport est devenue une matière éducative à part entière et il faut bien des équipements
Un city-stade pour le club de football
Le rôle d’une association sportive dans un village ou dans un quartier est prépondérant.
– C’est un lieu de citoyenneté où on apprend des règles mais un lieu d’émancipation aussi ; Les jeunes peuvent prendre des responsabilités et être reconnu pour leur engagement. Aujourd’hui le savoir-être est tout aussi important que l’apprentissage à l’école.
– Le rôle des bénévoles associatifs et des éducateurs est prépondérant. Tout sportif se souvient d’un de ses entraineurs et de ce qu’il lui a été inculqué.
Le sport c’est aussi la prévention santé
Le mieux manger et l’activité physique sont devenus des enjeux de société (lutte contre l’obésité, maladies cardio-vasculaires…).
Tout cela justifie l’engagement du Département au-delà de ses compétences obligatoires.
– La seule compétence obligatoire pour le Département en matière de sport ce sont les schémas de randonnées pédestres et les sports de pleine nature. Or nous intervenons aussi sur la création de city-stade, de terrains synthétiques, de skate-parks et de pumptracks, en y consacrant 1 million € chaque année.
– Nous consacrons aussi 3 millions € pour les piscines et les salles de sports à proximité des collèges, près de 100 000 € pour les 63 sections sportives des collèges, nous accompagnons l’UNSS, l’USEP et les comités départementaux si précieux pour les clubs, près de 850 000 € sont consacrés aux clubs amateurs de haut-niveau, 790 000 € aux manifestations sportives… Tout cela de manière volontaire et en dehors de ce que la loi nous demande de faire.
Aussi, quand l’opposition demande un recentrage de l’action du Département sur ses compétences obligatoires et ne vote pas le budget c’est toute cette aide là qui est remise en cause.
Mais la majorité départementale a fait un choix, celui de réduire la voilure parce que les difficultés budgétaires sont là mais ne rien abandonner parce que toutes nos politiques sont utiles. Nous resterons donc à vos côtés, soyez-en certains !